les vies qu’on mène

dans les grands espaces

jérome sessini
mat jacob
meyer
pascal aimar
philippe lopparelli

du 7 mars au 5 mai 2024
Du mercredi au dimanche de 14h à 18h

vernissage le 7 mars 2024 à 18h30

galerie du cri des lumieres – CHÂTEAU DE LUNÉVILLE -commun sud

Les territoires périurbains et ruraux, des espaces « peu denses » ? Aux plans géographique et démographique, on a du mal à circonscrire précisément le sujet : espaces peu habités, espaces périphériques, espaces dépendants des métropoles, espaces en déclin… Les qualifier de « peu denses », c’est désigner en creux leur manque : on vise les territoires où la densité de population serait insuffisante pour que le déploiement d’une offre de transports collectifs conséquente puisse trouver une pertinence économique. Raison pour laquelle, entre autres, la voiture y est reine, et ses habitants sans réelle alternative pour se déplacer. Mais pourquoi ne pas les requalifier, positivement, de « grands espaces » ? Étant devenus, pour certains, plus désirables encore à la sortie des confinements successifs, car synonymes de plus d’espace. Plus d’espace dans son logement pour élever des enfants, accueillir des animaux domestiques, recevoir des amis, jardiner, bricoler… Plus d’espace aussi pour profiter pleinement de la nature, de paysages et de loisirs en plein air : marche, moto, équitation…

> Ces photographies sont extraites du projet « Les vies qu’on mène », mené par le Forum Vies Mobiles, institut de recherche sur la mobilité et les modes de vie du futur, avec le collectif Tendance Floue et leur invité de Magnum Photos. 

partenaires

En partenariat avec Forum Vies Mobiles, le Ministère de la culture, le CNAP, la Région Grand Estle Conseil Départemental de Meurthe-et-Moselle, le Château de Lunéville.

© Pascal Aimar/Tendance Floue pour le Forum Vies Mobiles »